Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 

Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Le nouveau Kaspersky Password Manager intègre la protection des données de paiement

mars 2018 par Marc Jacob

Kaspersky Lab lance la nouvelle génération de sa solution « freemium » Kaspersky
Password Manager. Désormais, cette solution enregistre non seulement le duo
identifiant/mot de passe mais aussi les données de paiement, offrant un niveau de
protection supplémentaire lors de leur saisie automatique sur des sites, ainsi que
les scans et photos de documents, que le produit est capable de reconnaître.

Selon une récente enquête réalisée auprès de 14 552 adultes dans 30 pays, un
internaute possède en moyenne 14 comptes, services ou applications en ligne protégés
par mot de passe. A l’ère du trop-plein d’informations, Kaspersky Password Manager
permet aux utilisateurs de mémoriser un seul mot de passe ’maître’ pour accéder à un
coffre-fort numérique contenant leurs identifiants, mots de passe, contacts ou
numéros de carte bancaire. Toutes ces données sont chiffrées et saisies
automatiquement dans les formulaires sur les différents sites. Elles sont également
synchronisées entre les divers ordinateurs et appareils mobiles de l’utilisateur,
ainsi que dans la version web de la solution via le portail My Kaspersky, et
personne en dehors de l’utilisateur n’y a accès. C’est pourquoi il est essentiel de
ne pas oublier de bien mémoriser le mot de passe maître : il serait en effet
impossible de récupérer les données sans celui-ci, même avec l’aide du support
technique de Kaspersky Lab.

Protection des données bancaires et des scans de documents

La nouvelle version de la solution offre désormais l’option de stocker et d’entrer
automatiquement l’adresse et les données bancaires de l’utilisateur sur les sites de
paiement. Pour renforcer encore la sécurité de ces précieuses informations et
prévenir leur vol éventuel, le produit ne transmet celles-ci qu’aux sites dont la
fiabilité a été vérifiée au préalable. Le nouveau Kaspersky Password Manager peut
également parcourir le contenu de l’ordinateur à la recherche de photos de
documents, par exemple le scan d’un passeport ou d’un contrat d’assurance, que de
nombreux utilisateurs conservent dans ce format par précaution. Grâce à une
technologie d’apprentissage automatique et à une méthode algorithmique, le produit
détermine si une image représente un document et propose à l’utilisateur de
l’enregistrer sous une forme sécurisée à l’intérieur du logiciel puis de
supprimer la copie non chiffrée s’il le souhaite. La technologie ne déchiffre pas le
contenu du document et n’envoie pas l’image aux serveurs de Kaspersky Lab pour
l’analyser. Elle opère en local sur la machine de l’utilisateur et détecte la
présence de texte sur les images en analysant des motifs de lignes spécifiques.
Kaspersky Password Manager ne recherche des images contenant du texte que si
l’utilisateur active cette fonctionnalité dans les paramètres du produit. Sur
mobile, il est possible de prendre des photos de documents directement à partir du
logiciel : celles-ci seront immédiatement chiffrées, sans laisser de trace sur
l’appareil sous une forme non protégée.

La version gratuite de Kaspersky Password Manager offre de stocker 15 entrées,
chacune pouvant être une paire identifiant/mot de passe, une adresse, un numéro de
carte bancaire, une image ou un autre document. Dans la version payante, le nombre
d’entrées est illimité. En outre, il est désormais possible de classer manuellement
toutes les données de l’utilisateur dans le logiciel pour plus de commodité et pour
un accès rapide aux entrées les plus fréquemment utilisées.
Cette version de Kaspersky Password Manager est également compatible avec les plus
récents systèmes d’exploitation Windows, Mac, Android et iOS ainsi qu’avec les
navigateurs natifs comme Safari et Chrome. Enfin, FaceID peut dorénavant remplacer
le mot de passe maître sur iPhone X, de même que TouchID sur les appareils Android.


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants