Le premier brevet octroyé à LANDesk en 2012 permet à l’administrateur informatique de mettre un poste en quarantaine s’il ne respecte pas la stratégie de sécurité du réseau. Aujourd’hui, ce niveau de fonctionnalité est essentiel pour gérer des collaborateurs travaillant en mode BYOD (Bring Your Own Device) et connectés à distance, car ceux-ci font sans arrêt entrer et sortir des périphériques du réseau et se connectent de n’importe où. Avec cette technologie brevetée, le département Informatique peut bloquer les périphériques qui ne comportent pas les correctifs les plus récents ou un antivirus à jour, ou bien que ne répondent pas aux autres critères prédéfinis par l’administrateur réseau. Cela empêche les périphériques infectés par un malware de contaminer l’ensemble du réseau d’entreprise, mesure essentielle de sécurité du point d’extrémité.

Depuis juillet de cette année, LANDesk est également détenteur d’un autre brevet concernant la sécurité du point d’extrémité. Ce brevet s’applique à une technologie qui permet aux administrateurs de prédéfinir l’accès aux fichiers du réseau d’entreprise sur la base du profil du réseau de l’utilisateur final. Si l’utilisateur final se connecte par l’intermédiaire du réseau crypté depuis le bureau, il peut accéder à tous les fichiers. Par contre, s’il accède au réseau d’entreprise depuis le réseau non crypté d’un cybercafé local, il ne pourra accéder qu’à certains fichiers moins confidentiels, voire à aucun fichier. Si la prévision d’IDC, qui indique que la population des travailleurs mobiles atteindra 1,3 milliard de personnes d’ici 2015, s’avère exacte, cette technologie permettra à toutes ces personnes de travailler depuis pratiquement n’importe quel endroit, sans compromettre la sécurité du réseau.

De plus, LANDesk a récemment déposé, avec succès un brevet pour avoir inventé une méthode unique de déploiement des logiciels. Avec cette technologie LANDesk brevetée, les administrateurs peuvent déployer des logiciels et appliquer des correctifs à des ordinateurs sans avoir besoin de configurer un workflow complexe pour gérer ces actions. Par exemple, l’administrateur informatique peut commencer par déployer des correctifs vers les premiers postes mis à niveau ou vers les systèmes les plus critiques du réseau. Si cette phase d’application des correctifs réussit, le processus peut déployer automatiquement les correctifs vers la deuxième vague de machines. Cette technologie est unique car elle intègre les processus jadis distincts de test et de déploiement. Cela accélère également le déploiement des correctifs, progrès indispensable face à la complexité des malwares actuels. Cette technique étend l’infrastructure légère unique de LANDesk, ainsi que la distribution de son logiciel breveté de Multicast ciblé.

Les autres brevets couvrent des technologies qui sécurisent les communications entre clients et serveurs, et permettent de gérer la façon dont les services d’inventaire traitent les analyses. Outre ces six brevets homologués en 2012, qui portent le nombre total des brevets de LANDesk à 34, la société possède également 48 autres brevets en attente d’homologation. En renforçant son portefeuille de brevets, LANDesk prouve son innovation et sa créativité. De plus, avec les rachats et partenariats récemment annoncés, la société s’affirme en leader du marché de la gestion de l’utilisateur final.